« Christophe Rousset avait redonné en 1999 la Didon de Desmarest, tragédie à haute teneur émotionnelle. On attendait avec intérêt cette nouvelle exhumation. Le choc musical est certain : Desmarest était appelé à devenir le digne successeur de Lully. Dommage que ses amours sulfureuses l’aient conduit à l’exil. » Classica, juin 2006.
2007 : 2 CD AMBROISIE-NAÏVE AM 127